Nostradamus a fait transcrire par son secrétaire Chevigny une partie de sa correspondance latine, probablement destinée à publication. Il s'agit des "Lettres d'hommes illustres adressées au Docteur Nostradamus ainsi que ses réponses intégrales à ceux-ci" : Clarorum Virorum Epistolae ad D.D. Michaelem Nostradamum itemque Nostradami ad easdem Responsiones absolutissimae. Le recueil contient 51 lettres dont 10 de Nostradamus et 41 qui lui sont adressées (notamment par Lorenz Tubbe, Hans Rosenberger, Johannes Lobbetius et François Bérard, qui représentent à eux quatre les trois cinquièmes de la correspondance choisie).
243A Clarorum Virorum Epistolae
ad D.D. Michaelem Nostradamum summum in medicina atque astrologia virum :
itemque Nostradami ad easdem responsiones absolutissimae.
Additis figuris astronomicis super die natali, aut revolutionibus, aut quavis re alia quaesitis.
Atque haec quidem omnia tam latino, quam vulgari idiomate.
BNF Paris: ms. lat. 8592 (ex Bibliotheca Regia), [1562 puis 1566], in-4, [6] + 133 + [6] ff.
Titre du manuscrit en E1r (non paginé):
CLARORVM
VIROVM EPISTOLAE AD D.D. MICHAELEM
NOSTRADAMVM SVMMVM IN MEDICINA ATQVE
ASTROLOGIA VIRVM : ITEMQVE NOSTRA-
DAMI AD EASDEM RESPONSIO(N)ES
ABSOLVTISSIMAE.
ADDITIS FIGVRIS ASTRONOMICIS SVPER DIE
NATALI, AVT REVOLVTIONIBVS, AVT QVAVIS RE
ALIA QVAESITIS.
ATQVE HAEC QVIDEM OMNIA TAM LATINO, QVAM
VVLGARI IDIOMATE.
Le manuscrit contient 145 feuillets dont 138 paginés au recto : 4 feuillets préliminaires contenant 5 esquisses rajoutées (en "Ar", "Av", "Br", "Cr" et "Dr"), un feuillet surfolioté "E" (titre au recto, verso blanc), un feuillet blanc surfolioté "F", le texte de la correspondance sur 133 feuillets paginés (se terminant au recto de la page 133), 6 feuillets terminaux contenant quelques dessins et annotations par endroits. Le texte de la correspondance est folioté A3-I4, (I5-I6), K1-Z4, a4-l1, soit sur 266 pages (68 + 4 + 112 + 82).
Le manuscrit des Epistolae était connu de César Nostradamus sous les noms de recueil des "Epistres latines" ou de volume des "Nativités", un seul ouvrage dédoublé par Benazra sans preuve tangible (1990, p.596). Nicolas Fabri de Peiresc s'intéressait au Recueil (lettre du 4 février 1629) et César le réclame encore le 20 mars, non sans insistance, à son neveu Melchior de Seva (le fils de sa soeur Anne), qui l'avait emprunté et comptait y apporter de criminelles modifications et altérations aux yeux de César (lettres du 20 et 27 mars 1629 à son neveu ; BNF Paris: ms fr 9538, f.199 ; Tamizey, 1880, p.58-59). Ce respect des écrits de son père, serait-il mêlé aux milieux réformés, voire engagé dans des pratiques astrologico-théurgiques, est à mettre à son actif, et c'est donc grâce à lui et à l'intelligence de Peiresc que le précieux manuscrit nous est parvenu intact.
Mais Peiresc l'aura reçu directement de Seva après l'injonction de César et le renvoie à son propriétaire légitime : en effet, dans un relevé de sa correspondance, Peiresc note qu'il renvoie, le 26 mars 1629, au Seigneur César de Nostredame "son MS. d'Epistres de son père et à son père in 4°" (in Petits mémoires inédits de Peiresc, publiés et annotés par Ph. Tamizey de Larroque, Anvers, Veuve De Backer, 1889, p.88). Le jour suivant, César décide de l'offrir à Peiresc "soubs cette condition doncques qu'ame ne le voye au grand jamais" (lettre du 27 mars 1629, BNF Paris: ms fr 9538, f.188r ; Tamizey, 1880, p.30), se méfiant des censures, des idéologues et fanatiques de tous bords, voire des anti-astrologues activistes, en précisant que son père "estoyt homme fautien et non pas Ange" (ibid.), et non "faustien" comme le lit Jean Monterey (1963, p.31).
Peiresc avait fait recopier par l'un de ses secrétaires tout ou partie du manuscrit de Nostradamus : il nous reste la copie de 9 lettres dans un Recueil sur l'astronomie, l'astrologie et la musique, i.e. les lettres 1 à 3, la lettre agressive d'Olrias de Cadenet (lettre 14), la lettre 37 et les lettres 39 à 42 (BNF Paris: ms. fr. 9531, ff.65-88), ainsi que la copie des lettres 34 de Hans Rosenberger et 8 de Lorenz Tubbe (Méjanes Aix: fds Peiresc ms. 208 (1026), p.113-123 (repaginé 127-137) ; signalée par Buget en 1861, p.657).
Philippe Tamizey estimait que le manuscrit original fut à jamais perdu: "Quel recueil doublement curieux ce devait être et quel malheur qu'il soit, comme il le semble bien, à jamais perdu!" (ibid., 1889, p.88). En 1961, Eugène Lhez le déniche à la BNF et en traduit ou fait traduire 13 lettres dont les 10 de Nostradamus (in Provence Historique, 11.44-45, 1961). En 1983, J. Dupèbe fournit une traduction partielle des 51 lettres, accompagnée de la transcription du texte latin par la marxiste ou ex-marxiste Marie-Thérèse Inguenaud (qui fut en 1978-79 mon professeur ès Critique idéologique habermassienne à l'université Paris VII Jussieu, sans qu'elle ait pu y achever son année universitaire). En 1991-1992 paraît la première traduction complète des Epistolae par l'archiviste et paléographe Bernadette Lécureux (1913-2011) accompagnée des thèmes natals ignorés par Dupèbe, dans un recueil publié sous la houlette autoritariste de R. Amadou (1924-2006). En 1993 enfin, Pierre Brind'Amour donne une remarquable explication technique des quinze nativités accompagnant les lettres.
Le titre du manuscrit s'inspire peut-être des Clarorum virorum Epistolae latinae, graecae & hebraicae adressées à Johannes Reuchlin (1455-1522), un ouvrage paru à Tübingen en 1514 chez Thomas Anshelmus et réimprimé à Zurich en 1558 chez Christophorus Froschoverus. Parmi les correspondants de Reuchlin figurent de véritablement éminents érudits et humanistes dont Ficin, Melanchthon, Agricola, Démétrios Chalcondyle, Johannes Stoffler, Johannes Camerarius, Sébastien Brant, l'imprimeur Aldo Manuzio, et aussi Bernardus Adelman, Nicolaus Basellius, Heinricus Bebelius, Petrus Bonomus, Nicolaus Gerbelius, Petrus Iacobi Arlunensis, Conradus Leontorius, Johannes Lupus, Johannes Nauclerus, le médecin Adolphus Occo, Conradus Peutinger, Bilibaldus Pyrkaimar, Beatus Rhenanus Selistatinus, le pédagogue Johannes Streler...
Un "faciebat M Nostradamus 1562" figure au verso de la page 119, à la fin de la 41e lettre : le manuscrit aurait été organisé par Nostradamus en 1562 et prêt pour la publication. Après le faciebat figurent une dizaine de lettres (la première datant de 1557, les suivantes des années 1563-1565), transcrites dans une écriture plus resserrée et possiblement rajoutées par Chevigny en 1566, peut-être de son propre chef et par excès de zèle.
Cette organisation des 41 lettres sur 119 feuillets numérotés (ou 120 feuillets en incluant celui du titre) rappelle celle de la traduction d'Horapollon (1541) : les 119 entrées de la seconde partie de l'édition classique des Hieroglyphica d'Horapollon ou les 120 pièces (dont 4 traduites deux fois) de la seconde partie de la traduction, et la mise en évidence par Nostradamus du nombre 41, correspondant à l'année de cette traduction (cf. CN 28 ; et aussi les 41 paragraphes supputés de la première épître aux Prophéties: CN 33). Ainsi le dernier manuscrit rappelle le premier, comme l'alpha et l'oméga de son oeuvre.
La 41e et dernière lettre (avant le faciebat), adressée à François Bérard, contient aussi 3 acrostiches imparfaites de 9, 7, 11, 7 et 11 lettres majuscules pour Francisco Berardo, Nostradames [sic] et Michail [sic] Nostradamus, comme pour rappeler au lecteur attentif que l'opera nostradamica ne s'appréhende qu'en terra hermetica. De même la 36e lettre (6 x 6), la seule dont la date n'est pas donnée selon le calendrier julien et qui est surtout la 6e lettre de Nostradamus, contient 6 quatrains en français consignés au feuillet 104 (13 x 8) : ils sont à rajouter au corpus versifié (cf. CN 169). Et la somme des jours écoulés de la première lettre à la lettre 41 est de 6 ans, 6 mois et 26 jours.
Enfin toutes les lettres de Nostradamus sont datées des Ides ou des Nones sauf 3 d'entre elles, datées des IV calendas, V idus et VI calendas. Or 456 + 654 (ordre inversé) + 20 (le seul autre jour consigné en chiffres romains) = 1130. De même les 3 lettres importantes sont la 2e (à de nobles seigneurs), la 6e (qui contient les 6 quatrains) et la 8e et dernière (qui contient un texte cabalistique et les acrostiches), les 7 autres étant adressées à Tubbe ou à Rosenberg. Or 268 + 862 (ordre inversé) = 1130 (cf. CN 169).
Une quinzaine de thèmes natals (TN) sont dispersés au manuscrit (dont 12 dressés par Nostradamus), auxquels, pour deux d'entre eux, sont jointes les directions et révolutions solaires pour les années à venir :
3v TN Pierre de Forlivio, 13 NOV 1500, 8h, Avignon
4r TN François Bérard, 2 JAN 1528, 21h, Avignon
6v TN Sigismund Woyssell, 19 DEC 1534, 15h35, 51°10 Breslau
8v TN Hans Rosenberger, 11 MAI 1510, 6h53, Augsburg
10v TN Hans Rosenberger, 11 MAI 1510, 6h53, Augsburg (thème rectifié Leowitz)
14v TN Lorenz Tubbe, 9 AOUT 1531, 10h30, Greifswald (thème Tubbe)
16r TN un religieux anonyme, 20 MAR 1512, 8h05, 43°
23r TN Jean de Chevigny, 24 JAN 1533, 7h30, Beaune
23v TN Gérard de Chevigny, 20 AOUT 1548, 5h05, Beaune
27r TN Geronimo Porporato, 20 AOUT 1517, 4h15, Turin
27v TN Alessandro Porporato, 23 DEC 1548, 11h45, Saluzzo
33r TN Pierre Martyr, 7 OCT 1507, 12h40, 44° Carbonne ?
(34r-35v : Relevé tabulaire de Directions pour Hans Rosenberger)
39v TN Karl Rosenberger, 25 AVR 1534, 1h15, Augsburg
40r TN Hans Rosenberger Jr, 2 FEV 1544, 16h45, Augsburg
90v TN Marquart Rosenberger, 1 JUIL 1526, 23h23, Augsburg (thème rectifié Leowitz)
(91r-101r : Relevé de Directions et thèmes de Révolution pour Marquart Rosenberger)
D'autres nativités dressées par Nostradamus, pour la plupart sur commande, sont mentionnées dans la correspondance, sans qu'une copie des thèmes n'ait été conservée : le fils du docteur Jean Liparin de Bourges (avant 1959, lettre 8), un noble allemand, ami d'Oswald von Landenberg (fin 1559, lettre 9), une marquise provençale dite de Amicis (1560, lettre 13), Rupert Weidenkopff de Heidelberg (1561, lettre 25), Christoff Kraft, libraire à Lyon (1561, lettre 31), un cousin, Paul Seguin, et un ami de François Bérard (1562, lettre 40), Benoît de Flandres, né à Gap le 21 octobre 1525 (1564, lettre 45), Jean Lobet, sans heure de naissance (1565, lettre 48), et les frères Jeremias et Anton Schorer (1561 et 1565, lettre 51).
On retrouve les thèmes de Hans et Marquart Rosenberger, rectifiés par Leowitz, dans deux manuscrits d'Heidelberg (ignorés par Dupèbe comme par Brind'Amour ; cf. DIAL 2). Le thème d'Hans Rosenberger établi par Cyprian Leowitz est donné pour le 11 mai 1510 à Augsburg entre 7 et 8 heures "minoris horologii ante meridiem", ou plus précisément à 7h25 avec un ascendant à 15°48 du Cancer. L'heure rectifiée est donnée pour 6h53 avec un ascendant à 9°16 du Cancer (BU Heidelberg: Cod. Pal. germ. 658, Augsburg, ca. 1551). Quelques autres thèmes ou données natales de souverains et assimilés figurent en fin de volume dont celui d'Élisabeth d'Autriche, fille aînée de l'archiduc Ferdinand d'Autriche et nièce de Charles Quint, morte probablement empoisonnée à 19 ans, née le même jour mais 2 ans après Leowitz, le 8 juillet 1526 (à Linz) à 16h "a mer.", c.-à-d. le 9 juillet 1526 à 4h du matin. De même le thème de Marquart Rosenberger établi par Cyprian Leowitz est donné pour le 1er juillet 1526, 11 h 23 "a meridie", c.-à-d. à 23h23 (heure rectifiée), lat. 49°30, avec un ascendant à 18°06 du Bélier, qui est précisément celui qui est consigné dans la lettre 35 des Epistolae, en 90v (BU Heidelberg: Cod. Pal. germ. 656, Augsburg, 1555).
Le relevé des lettres figure dans le tableau qui suit, avec en colonne 1 la numérotation des lettres, en colonne 2 leur datation (sur fond jaune trois lettres chronologiquement déclassées), en colonne 3 les correspondants (avec N pour Nostradamus, T pour Laurent Tubbe, R pour Hans Rosenberger et L pour Jean Lobet alias Lobbetius), en colonne 4 leur foliotation au manuscrit, en colonne 5 leur édition au Corpus Nostradamus, en colonnes 6 à 9 leur pagination respective chez Lhez, Dupèbe, Bernadette Lécureux, et Brind'Amour (avec en rouge leurs datations fautives des lettres), et sur fond violacé les lettres écrites par Nostradamus. Aux lettres latines sont rajoutées, au bas du tableau, 5 lettres de Nostradamus en français découvertes indépendamment (avec leur collecteur en dernière colonne).
1 1556-02-01 Gabriel Symeoni 1r-1v CN 187 D29-30 L63 2 1554-09-20 Jean Brotot 1v-2v CN 13 D31-32 L64 3 (1557-11) Pierre de Forlivio 2v-3v
D33 L65 B333-334 4 1558-03-12 François Bérard 3v-4r
D34 L66 B355-357 5 (1558) François Bérard 4v
D35 L67 6 (1558) Jean Brotot 4v-5r
D36 L68 7 1559-05-19 Sigismund Woyssell 5r-6v
D37-38 L69-70 B365-366 8 1559-11-04 T 7r-8v
D39-41 L71-72 B337-339 9 1559-11-24 Oswald von Landenberg 9r-9v
D42 L73 10 1560-01-01 T 10r-11v
D43-44 L74-75 B339-347 11 1560-03-16 T 11v-14v
D45-47 L76-78 B358-359 12 (1560) un religieux anonyme 15r-16r
Lh121-122 D48-49 L79-80 B348-349 13 (1560) un Paul de Salon 16v-17r
D50 L81 14 (1560) Olrias de Cadenet 17r-20v
D51-55 L82-84 15 1560-09-01 Jean de Chevigny 21r-23v CN 241 D56-58 L85-86 B360-362 & 373-374 16 1560-09-20 T 23v-25v
D59-60 L87-88 17 1560-10 ou 11 Geronimo Porporato 26r-27v
D61-62 L89 B350-351 & 374-375 18 1560-12-01 T 27v-32v
Lh124-127 D63-66 L90-92 19 (1558) Pierre Martyr 32v-33r
D67 L93 B335-337 20 1561-01-20 T 33r-35v
D68 L94 21 1561-03-11 R 36r-39v
Lh128-130 D69-72 L95-97 B363-365 & 370-372 22 1561-04-08 R 40r-44r
D73-75 L98-100 23 1561-05-01 Jacobus Securivagus 44v-45r
D76-77 L101 24 1561-05-29 Jacobus Securivagus 45v-46r
D78 L102 25 1561-06-07 T 46r-48v
D79-81 L103-104 26 1561-06-18 R 48v-51v
D82-84 L105-106 27 1561-07-15 N à T 52r-57r
Lh131-134 D85-89 L107-110 28 1561-07-29 N à nobles personnages (épiscopat anglais) 57r-v cf. CN 129 Lh136-137 D90 L111 29 1561-08-09 T 57v-60r
D91-93 L112-113 30 1561-09-09 N à R 60r-65v
Lh137-141 D94-98 L114-117 31 1561-10-15 N à T 66r-68r
Lh141-142 D99-101 L118-119 32 1561-10-15 N à R 68v-72v
Lh205-208 D102-105 L120-122 33 1561-11-15 T 72v-75v
D106-108 L123-124 34 1561-12-15 R 75v-83v
D109-115 L125-129 35 1562-01-19 T 83v-101r
D116-121 L130-133 B352-355 36 1562-01-20 N à Dominique de Saint-Etienne & Jammot Pathon 101v-104v
Lh209-211 D122-125 L134-135 37 1562-02-24 R 104v-107v
D126-128 L136-137 38 1562-04-13 T 108r-109r
D129-130 L138 39 1562-05-15 N à T 109r-115v
Lh211-216 D131-137 L139-143 40 1562-08-13 François Bérard 115v-116v
D138-139 L144 41 1562-08-27 N à François Bérard 116v-119v
Lh217-221 D140-143 L145-155 42 1557-11-16 Johannes Cibo Boerius 120r-121r
D144-145 L156 43 1563-05-07 Jean de Chevigny 121v-122v CN 241 D146-147 L157-158 44 1563-10-15 Johannes Bergius 123r-124r
D148-150 L159 45 1564-05-01 Benoît de Flandres 124r-v
D151 L160 46 1565-06-13 L 124v-125r
D152-153 L161 47 1565-07-07 N à L 125v-126v
Lh225-226 D154-155 L162 48 1565-07-23 L 126v-128v
D156-158 L163-164 49 1565-08-16 L 128v-130r
D159-160 L165-166 50 1565-11-19 L 130v-131v
D161-162 L167 51 1565-12-13 N à L 131v-133r
Lh226-228 D163-165 L168-169 FR 1 1559-10-20 N à Lorenzo Strozzi CN 122
Marcel Gouron 1956 FR 2 1561-11-30 N à Jean Morel CN 43
D169-173 Jules Renouard 1853 FR 3 1562-02-04 N aux chanoines d'Orange CN 127
Laurent Bonnemant 1768 FR 4 1565-08-5/7 N à L
D166-167 Ludwig Mieg 1701 51 bis 1565-12-12 N à L
D167-169 L171 Ludwig Mieg 1701 FR 5 1566-02-25 N à Joachim de Cléron de Saffres CN 100
Patrice Guinard 2008
Integre Quaero Atque Reperio, Augsburg, 10 mars 2020
Retour à l'index
Bibliographie
Retour Nostradamica
Accueil CURA
Patrice Guinard: Introduction compréhensive à la Correspondance de Nostradamus
http://cura.free.fr/dico3/2003epistolae.html
10-03-2020 ; updated 04-04-2020
© 2020 Patrice Guinard